vendredi 31 juillet 2015

Doigts dans le nez !

Je vous ai laissé-e-s en avril toute en pleurs, aussi digne qu'une lavette en me désespérant de mon niveau de couture. Devinez de quoi je reviens vous parler ?

De couture, ouiii ! (No shit Sherlock ?)

Mais alors, on repart au début hein, les bases des bases, on va pas faire la mariole... 4 pièces, un peu de biais, et c'est parti les amis !


Call me Nick Quasi-sans-tête.

Dans ma fabuleuse quête de la patronothèque parfaite, j'ai pas mal cherché LE patron de T-shirt : Confortable, simple et sans fioritures, et surtout réalisable avec un tissu autre que du jersey.
Ce graal se trouvait là, paisible chez Grainline Studio sous le petit nom de Scout Woven Tee.

Basique parmi les basiques, j'ai longtemps louché dessus puis hésité jusqu'à ce que Charlotte me conseille, un soir de faiblesse sur Instagram pour changer, de l'acquérir au vu de sa versatilité. En bonne petite étudiante avec le budget qui suit, je ne voyais que les 12$ pour le patron PDF. Maiiis, je dois avouer que depuis, 3 exemplaires ont vu le jour, soit 4$ le tshirt. Que demande le peuple ? 


Alors il est vrai qu'avec ce patron, on ne réinvente pas la poudre, mais il a le mérite d'être réalisé en une heure ou deux selon sa rapidité et sa technique. Le seul point possiblement problématique peut être le biais d'encolure. Personnellement, il m'a fallu 3 réalisations pour comprendre comment le poser (quand je vous dis que je suis une quiche...), mais c'est clair que le résultat est tiptop coolio.

Niveau tissu, j'ai choisi un coupon de wax. Alors ouii on en voit partout, oui c'est tendance, mais personnellement je vois l'aspect confort de ces cotons. Et puis comme j'ai une fâcheuse tendance à bloquer devant mon placard tous les matins pour savoir avec quel jean noir assortir mon tshirt noir, y inviter de la couleur ne fait pas de mal. Et pour le coup, mes maitres-mot ont été "discrétion" et monochrome"...

La nonchalence malgré cette persistante odeur de pipi propre aux ruelles parisiennes...

Pour le coup, la couture et moi, on redevient copines, mais point trop n'en faut hein, je crois que je vais continuer à faire des Scout tee avant de lui faire l'affront de tenter autre chose...




dimanche 26 avril 2015

La poisse.

Que les choses soient claires : La couture ne m'aime pas. 

Pour tricoter de la dentelle au kilomètre, fabriquer de la chaussette à foison dans le métro ou encore m'envelopper dans des pulls 100% pure laine, y'a du monde hein, pas de soucis, mais dès qu'il s'agit de sortir quelque chose de potable de ma machine à coudre, c'est le désœuvrement le plus total. 

Bon, mis à part les petites pochettes-fastoches-à-coudre-même-si-présence-de-fermeture-éclair-il-y-a ou encore d'un Châtaigne à vélos réussi grâce à la Providence mais un poil trop court pour mes cuissots généreux, le reste me résiste, dont un patron en particulier sur lequel je bave depuis maintenant trop longtemps : J'ai nommé la robe Sureau

J'en parlais il y a quelques articles de cela (on ne va pas se mettre mal à l'aise en utilisant la notion de temps, hein, soyons raisonnables), j'avais déjà tenté la fameuse dans un merveilleux tissu noir à petits pois blancs. Malheureusement, en bonne grosse débutante que j'étais (et que je suis toujours...), la ligne d'épaule n'allait pas, ça godaillait dans tous les sens, ce qui a eu le don de me foutre en rogne et de planquer la vilaine dans un placard. En réagissant telle une adulte avertie face à ce déboire, j'ai boudé. Jusqu'à me dire il y a quelques temps que je pourrais ÉVENTUELLEMENT prendre le souci, que dis-je, ce contre-temps à bras le corps et le rectifier en 10 minutes chrono et avec une main dans le dos. Evidemment, quand on prend le temps de chercher et de faire ce qui va, ça roule forcément. 

J'ai donc disposé mes pièces, coupé mes tissus, marqué, épinglé puis cousu la 7e merveille du monde jusqu'à avoir poussé le truc en la doublant entièrement (belle gosse, je sais). Manifestement, j'avais un poil trop poussé ma chance, parce qu'en repassant l'encolure pour la surpiquer, l'irréversible se produisit : 



Comment vous dire à quel point j'avais les glandes, à quel point j'ai eu envie de pleurer (vraiment, hein), à quel point j'ai eu envie de taper quelqu'un. Trois jours à bosser dessus petit à petit, je me voyais déjà aller crâner un peu partout avec en disant bien fort "C'EST MOI QUI L'AIT FAITE !", ou encore dévaler des collines verdoyantes ensemble... Et pourtant, il a fallu que des restes de thermo-colle sur la planche à repasser viennent troubler mes rêves. Cependant, après avoir réagi comme une adulte (en boudant pendant 3 jours, donc), j'ai eu la motivation pour la continuer et poser la fermeture éclair afin de l'essayer et voir si il y avait des modifications éventuelles à faire. Ben autant vous prévenir, ce que j'ai vu a fini de m'achever : 



Bons baisers from ma salle de bains <3

Elle m'allait parfaitement. Enfer, damnation et larmes de sang, on aurait dit que les souris de Cendrillon étaient venues la coudre sur moi, j'ai jamais été aussi mignonne dans une robe, et autant vous dire que j'en ai essayé pas mal.

Depuis, le spécimen est pendu à mon placard, je la vois tous les jours et elle me nargue. J'attends juste de finir mon mémoire pour pouvoir enfin dire : "Sureau, j'aurai ta peau !"


Fournitures : Coton gris/bleu des Coupons de St Pierre / Voile de coton imprimé des Coupons de St Pierre ( Pour toi à qui cet imprimé a fait les yeux doux, sache qu'il est actuellement en promo chez Dreyfus : 2,99€/mètre !)

lundi 16 mars 2015

Les soquetas de l'archiduchesse



Maintenant que le blog renaît d'entre les morts, rattrapons le temps passé.
 Depuis le 15 août, j'en ai quand même fait, des choses... J'ai joué à la marelle, par exemple ! 


Marelle - 75% mérino superwash 25% nylon


A la base de cette énième paire de chaussettes somme toute assez simples, la super laine de la copine picarde Cécile alias La Fée fil. Tombée dans la marmite de teinture l'année dernière, elle agite les internets avec ses écheveaux à la douceur infinie. "Ecailles de sirène", "Course d'autruche", ou encore "Mon cher Louis", ses couleurs aux noms évocateurs proposent une gamme de couleurs variées qui plairont aux plus pointilleux.

Toujours dans des quantités trèèès limitées, j'ai réussi à attraper au vol cet écheveau qui m'évoque surtout ma boîte d'aquarelle après une utilisation intensive. Pour mettre cette jolie laine en valeur, rien de mieux qu'une paire de chaussettes simples, sans fioritures : 64 mailles sur une aiguille circulaire travaillées des côtes à la pointe, talon "heel flap" sur la route et roule ma poule.

 Embêtement minimum pour effet maximum, rien de plus fastoche pour aller crâner dans le quartier.




Les ayant tricotées il y a un moment maintenant, je peux faire un petit point sur le vieillissement de la laine :  Je les porte assez régulièrement, durant les jours les plus froids sur Paris cet hiver, je les ai eues une fois par semaine aux pieds. Fatalement, le port induit le lavage, et pour cette paire teinte à la main, je suis un peu maniaque :  Elles ont eu droit à leur bain dans le lavabo avec le Mir laine, au ptit massage pendant le rinçage et touuuut... Pas de passage en machine pour ces jolies, j'ai été traumatisée...
 Et depuis, tout ce que j'ai pu constater, c'est un léger feutrage aux points sensibles et une petite perte de vivacité de la couleur, mais rien de bien méchant vu toutes les fois où je les aies portées. Si un des écheveaux de Cécile vous tente, n'hésitez surtout pas : la qualité est en tous points au rendez-vous et n'a rien à envier aux plus grands :)





samedi 14 mars 2015

Knit Tag !


Première fois qu'on me taggue pour participer à une de ces chaînes, j'y réponds avec plaisir ! 
Lancée par Jaenelle du blog A l'Estudiantine et désignée par la douce Vanessa aux Gambettes Sauvages, cette chaîne de 12 questions porte sur le tricot. C'est parti !


1. Combien de temps passes-tu à tricoter tous les jours ?
Hmm, ca dépend de ce que j'ai à faire dans la journée et d'où je me trouve. En période de cours, je me sers surtout de mon temps cloîtrée dans les transports en commun pour tricoter tranquille (enfin tout est relatif, surtout dans une rame bondée avec toutes les paires d'yeux qui vont avec..). Ca va d'une à deux heures, voire un peu plus. Mais j'avoue que je peux PARFOIS me faire des journées entières à enchaîner les rangs.

2. Quelle est ta laine préférée ? Pourquoi ?
Le cachemire et le mérinos sont tellement doux que ne pas les nommer serait une erreur. Malheureusement, je n'ai pas vraiment le budget pour pouvoir les travailler, ou alors uniquement en chaussettes pour le mérinos. Je ne désespère pas de pouvoir me faire une combi intégrale un jour, ceci dit.
3. Avec quelles aiguilles tricotes-tu le plus souvent ?
Ma taille fétiche est le 5, et paradoxalement je n'en ai qu'une seule paire : Des circulaires Knit Pro Symfonie. Faites en bois, je les trouve agréables à travailler, mais le câble me dérage à cause de sa rigidité. Les Hiya Hiya sont une très belle découverte, j'en possède déja 3 paires (notamment pour les chaussettes) et je pense céder aux sirènes du tout-acier dans peu de temps.
4. Actuellement, combien de pelotes compte ton stock de pelotes ?
Comme l'a si bien dit Vanessa, c'est indécent. Entre les pelotes de récup', celles achetées en coup de coeur et les restes de divers projets, je ne les compte plus. Mais je n'ai pourtant JAMAIS ASSEZ de laine. C'est comme ça.
5. Quelle(s) est (sont) ta (tes) marque(s) de laine préférée(s) ? Et pourquoi ?
J'ai un très gros faible pour Cascade Yarns, surtout la 220. De très belles matières à bas prix, que demander de plus ? Mais je tricote en ce moment avec de la Nepal venue de chez Drops, cette laine est encore meilleur budget que la précédente avec une très belle qualité... A voir lors de l'achèvement du projet et de sa longévité !
6. Plutôt aiguilles circulaires ou quatre aiguilles ?
Circulaires 4 ever ! J'en ai déjà parlé sur le blog et les circulaires sont pour moi la quintessence de l'aiguille à tricoter (rien que ca, dis donc). Facile à transporter, usage 2 en 1, je ne peux plus revenir aux aiguilles droites et aux doubles-pointes.


7. As-tu déjà crée tes propres patrons, si oui lesquels ?
Jamais, mais je m'autorise à la bidouille lorsque je m'en sens capable. Là par exemple, j'adapte le modèle d'un pull déjà tricoté en gilet, appelez moi Stephen West. (#modestie)
Coucou, je suis le roi du tricot, kiss kiss. 

8. Quelle méthode liée aux arts de la laine aimerais-tu apprendre ?
Je dois bien avouer que peu de choses m'intéressent autant que le tricot en soi... Apprendre à teindre, éventuellement ?
9. Quel est le pire selon toi : un fil qui se dédouble ou se rendre compte que tu as fais une erreur dans ton tricot 20 rangs plus bas ?
La question piège... Je crois que le pire, c'est la boulette 20 rangs plus bas. Que je laisserais parce que je sais que j'aurai la flemme de tout défaire. Et qui me rendra folle parce que je ne verrais que ça.
10. Avec quel(s) fil(s) tricote-tu en ce moment ?
Comme je l'ai dit plus haut, je tricote actuellement avec de la Nepal de chez Drops. J'ai profité de l'offre sur les fils contenant de l'alpaga, et je me fais un gilet avec.
11. Quelle marque de laine aimerais-tu tester ?
Toutes celles qui me sont hors d'atteinte car hors-budget ? Plus sérieusement, les couleurs et les qualités de la Madeline Tosh me tentent énormément, et les laines DK de La Fée Fil me font également de l'oeil. Ces laines restent encore au stade de friandises, du genre que l'on se permet de temps en temps... Ou que l'on se fait offrir... (Ben quoi ?)
12. Que penses-tu du tricot ? 
Oula, plein de choses ! Surtout du bien, j'adore cette idée qu'on puisse se fabriquer quelque chose de bout en bout et PORTABLE avec un simple bout de fil. J'aime aussi avoir cette liberté de faire mes choix en matière d'habillement et que mes amis, des connaissances et parfois même des inconnus me demandent de quelle boutique vient mon pull, mon gilet ou mes chaussettes. Ce que j'aime également, c'est de voir à quel point les gens sont touchés lorsque je leur offre un présent tricoté, voir leurs têtes ébahies, ne croyant pas que je puisse FABRIQUER l'article qu'ils ne voient que dans des vitrines de magasins. Mais par dessus tout, j'adore le fait que le tricot soit aussi fédérateur. Grâce à ça, j'ai rencontré des gens vraiment talentueux et formidables venus d'un peu partout dans le monde, la magie d'Internet !


D'ailleurs, en parlant de personne talentueuse et formidable, Vanessa vient de sortir son premier livre ! On retrouve au fil des pages sa patte créative mise en oeuvre au travers de la laine, et c'est très réussi. Le plus, c'est que pour pouvoir en profiter, il n'est pas indispensable de savoir tricoter, et ca c'est chouette. Bravo ! 




jeudi 12 mars 2015

Zone de confort


Aaaah, plus de 6 mois sans news, parfait, PARFAIT ! 
Il faut dire qu'entre temps, je me suis engagée dans une prépa CAPES, et tout moment propice à la détente me plonge dans une culpabilité folle... Même si entre nous, ca ne m'a pas empêchée de tricoter héhéhé ! 


Comfort Zone - Lili comme tout


Abonnée aux gilets lorsque je les achète dans le commerce, j'ai pourtant la fâcheuse manie de ne lorgner que sur des pulls ( et les chaussettes, parce que chaussettes 4 ever ) sur Ravelry.
 Alors lorsque ma grande soeur a eu la merveilleuse idée -pas du tout suggérée par mes soins- de m'offrir un bon d'achat chez Lil Weasel pour Noël, j'ai pas hésité et j'ai couru Passage du Grand Cerf. 



Voulant un gilet chaud et confortable, j'ai opté pour la Cascade 220 Heathers. Valeur sûre parmi tout ce que nous proposent les marques, cette laine allie un grand choix de couleur, une très bonne qualité et puis surtout, un prix aussi doux que sa laine après blocage. (Budget étudiant oblige...)
 Partant de là, je me suis mise en quête d'un gilet dans les profondeurs de Ravelry. J'avais déjà vu plusieurs versions du Comfort Zone créé par Lili comme Tout qui m'avaient fait des oeillades, et hop, je me suis lancée.

Tricoté à la base avec de la Cascade Eco Alpaca, j'ai fait ma rebelle et tricoté avec de la 220, mon échantillon étant le même. Par contre, comme bien souvent lorsque l'on change de type de laine pour un projet, cela influe sur le rendu final : Mon gilet est un peu plus court que le modèle, mais au final, je trouve que c'est peut être pas plus mal.

(Pour les lynx dans l'assistance, mon gilet n'a effectivement pas de boutons car je n'ai toujours pas trouvé ceux qui me faisaient vibrer tout en étant raccord avec le gilet... De toutes façons je porte mes gilets ouvert, ALORS BON.)



Sans déconner, ce gilet était fait pour moi : il a des POCHES <3
(et cette couleur, mmmh...)

Au final, ce petit gilet porte bien son nom : Le confort est présent tant à l'étape tricot qu'à l'étape portage. Merci Lili pour ce chouette modèle ! 




Et en bonus, un extrait de la séance photo... Dignité, sérieux et classe sont mes maîtres-mots, oui oui. 




vendredi 15 août 2014

La nouvelle copine.

Je sais, je sais, ca fait un bout de temps que rien n'a été publié par ici. Mais on ne peut pas bosser, tricoter, dessiner, et traîner en même temps mes poulets, ca se saurait (et ca m'arrangerait bien..) !

Mais ce n'est pas l'objet de ce billet. Je viens vous annoncer qu'il y a du nouveau dans ma vie. Depuis peu, j'ai une nouvelle copine. Je vous laisse l'admirer. 

(Non, ce n'est pas la lampe.)

Son petit nom c'est Singer Tradition, Tradi pour les intimes <3


Elle a plein de boutons à tripoter dont je ne comprends pas toujours le sens, mais je gère le plus basique, point droit mon amour !



Offerte par la famille pour ma soeur et moi début juillet, j'apprends doucement à coudre toute seule comme une grande. L'apprentissage de la couture prend un peu le même chemin que mon apprentissage du tricot, d'abord la base avec quelques essais des différents points, et quand c'est (plus ou moins) assimilé, hop je me jette dans le grand bain pour un projet concret.
 M'imposer des défis et monter graduellement la difficulté me force à comprendre et à m'améliorer, ce que je trouve en plus beaucoup plus gratifiant de voir que oui, même après quelques temps de prise en main, on peut se confectionner quelque chose que l'on aurait du acheter dans le commerces quelques temps auparavant. (Dans ta face, petite fée Consommation !)
Et puis quitte à rêver, autant y aller à balle en bavant sur les Cami Dress, les Cambie Dress, et surtout, surtout, la Sureau...

Enfin pour celle-ci, avec un peu de concentration et d'attention, elle sera sur mon dos d'ici peu, héhé...!


samedi 10 mai 2014

Les pieds au chaud !

Me revoici après ma saga (AU MOINS) sur l'apprentissage du tricot, j'espère que vous avez tous réussi vos premières mailles et observé une minute de silence au monde merveilleux du tricot qui s'est ouvert à vous. 
Pendant ce temps-ci moi, j'ai tricoté. 





Alors comme beaucoup ont pu le remarquer (Notamment sur IG, ahem...), je suis à fond dans ma période chaussettes. Certains tricotent du châle, d'autres du pull à foison, mais moi, rien à faire, c'est la soquetas, et ce pour plusieurs aspects.

Premièrement, ce qui est chouette avec les chaussettes, c'est qu'avec un seul écheveau, on obtient une paire de son choix. Pour cette paire, j'ai utilisé de la Malabrigo Sock en coloris Candombe.
Depuis le temps que je la voyais chez Lil Weasel, j'ai fini par craquer à la fin de mes partiels, et je ne regrette pas du tout ! La couleur est une vraie dinguerie, j'ai eu l'impression de tricoter une de ces tâches d'huile ou d'essence qu'on voit parfois par terre quand il pleut...



Deuxièmement, ce qui est cool avec un projet aussi rapide, c'est que le panel de test de laines est quasi-infini ! Entre les grands noms de laines à chaussettes, les séries des filatures industrielles et des teinturier-e-s indés anglaises ou américaines, je crois que je n'aurai pas assez d'une vie pour toutes les tricoter... Mais je compte quand même vous inonder avec le peu que j'ai, éhéhéh...


Vanilla socks (trouvable sur Ravelry) - Malabrigo Sock